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Achille Fitzgerald
Achille Fitzgerald
Shadowhunter
L'enclave ma envoyer : 48 missions depuis mon arrivée à Montréal le : 22/10/2018 Je joue : Ben Barnes
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Message when did I lose myself? // ft. Lisandro posté Jeu 25 Oct - 21:42
when did I lose myself?
achille & lisandro

« All the words that leave my tongue feel like they came from someone else. I'm paralyzed, Where are my feelings? Where is the real me? I’m lost and it kills me inside. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] La vie de Shadowhunter n'était pas la plus simple ; se battre chaque jour pour sauver des gens qui ne sont même pas au courant de ce sacrifice est parfois difficile. Mais quelque part, Achille aime cette vie, le pincement des muscles, la douleur d'un biceps trop utilisé ; en général, la chaleur du corps après une bonne séance d'entrainement. Il aimait beaucoup s'endormir, l'esprit tranquille après avoir tué des démons prêts à dévorer des humains innocents, même si parfois il finissait blessé.
Le brun était même souvent amoché, jamais gravement, il faisait bien attention, mais vu que son arme principale était une lame relativement courte et qu'il aimait un peu trop faire le malin, les égratignures n'étaient pas rares. Une iratze aurait été facile à utiliser, mais trop souvent fatigué, il préférait éviter.
Exactement comme ce soir ; après une longue journée de chasse en compagnie de Lisandro, le chasseur n'avait qu'une envie, se poser et dormir. Peut-être même que s'il était assez persuasif (ses yeux de chien battu fonctionnaient toujours aussi bien), l'autre brun resterait pour la nuit. Rien de sexuel, pour une fois, juste la sensation tant agréable de dormir collé à quelqu'un.

Après avoir déposé leurs armes, Achille tire Lisandro dans sa chambre, non sans un clin d'oeil aux rares shadowhunters qu'ils croisent en chemin. Le brun se laisse tomber sur son lit dans un long soupire avant de lancer un regard à l'autre homme : « Viens t'asseoir Lis, je ne mords pas, tu me connais maintenant. » même si son sourire hurle le contraire, Achille finit par se redresser pour récupérer la toute petite trousse de premiers soins cachée sous son lit. « Pas trop mal au dos ? Aux épaules ? » promesse d'un massage à moitié cachée sous ses mots, il connaissait aussi l'arc, comme tous les shadowhunters, mais préférait largement le combat au corps-à-corps, surtout après avoir découvert des muscles dorsaux qu'il ignorait avoir jusqu'alors, à cause d'un entraînement un peu trop poussé au tir à l'arc. « Mal autre part, Lisandro ? »

Les yeux fatigués d'Achille se posent sur la silhouette du plus jeune et il penche la tête, avant d'humecter ses lèvres du bout de la langue, se posant mille questions. « Tu ne m'as même pas parlé de ton si précieux sorcier pendant la mission, je suis déçu. » ironie suintante de la voix, il espère juste pouvoir ennuyer son ami et lui faire comprendre à quel point il peut être mieux.
(c) DΛNDELION
Lisandro Giovannoti
Lisandro Giovannoti
Shadowhunter
L'enclave ma envoyer : 898 missions depuis mon arrivée à Montréal le : 14/10/2018 Je joue : Matthew Daddario
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Message Re: when did I lose myself? // ft. Lisandro posté Jeu 25 Oct - 23:10
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WHEN DID I LOSE MYSELF? † LISANDRO & ACHILLE
Sa disparition et sa mort soudaine le rendent encore plus inconscient qu’il ne l’était déjà, jusqu’à présent. La preuve, c’est que ce soir, il semblait se mettre en danger, sans vraiment se soucier que sa vie ne tient qu’à un fil et que celui-ci et encore plus fragile, quand vous êtes un chasseur d’ombre. Lisandro n’y peut rien, il est devenu ainsi et il ne pense pas qu’il pourra se montrer plus prudent, pas tant qu’il y a cette rage, cette haine et ce vide en lui persistant et irritable. Même en la compagnie d’Achille, il ne semble pas se soucier du chagrin ou même de l’angoisse qu’il pourrait ressentir en son encontre. Lisandro s’en moque d’une certaine manière, même s’il pouvait y remédier, il ne le voudrait pas et il ne se permettrait pas. Les blessures sont nombreuses sur sa peau, mais les pires blessures sont bien plus douloureuses au plus profond de ses entrailles, que la douleur physique, il ne semble pas s’en soucier. Le sang s’échappe de certaines de ses blessures, des picotements ici et là, des morceaux de vêtements légèrement déchirés. Lisandro se moque ouvertement de l’image qu’il semble faire paraître, quitte à froisser les esprits fragiles et déroutés, il se fiche d’eux royalement. Son arc, son arme ultime peut même le blesser à travers cette corde forte, mais ça ne l’empêcher pas d’être toujours aussi excellent et de ne pas louper ses cibles, aussi proches que lointaines. Le soir défile et le temps ne semble pas avoir d’emprise sur lui, ou alors il tente surtout de s’en convaincre. Ils décident de rentrer après avoir exterminé quelques créatures obscures, qui avaient la fâcheuse tendance de ne pas respecter les règles fondamentales, d’une paix que lui tente et veut préserver. La mort est tout ce qu’il mérite. La meilleure décision est de les exterminer, car ils sont dangereux et ils n’ont pas leur place en ce monde. L’adrénaline tombait, il ressent la fatigue et la douleur s’éveillait, mais il ne s’en plaint pas et ils avancent côte-à-côté jusqu’à rentrer à l’institut. Le sommeil semble être ce qu’il a besoin maintenant, mais en même temps, il le craint, car souvent, ses nuits sont parcourues de nombreux cauchemars. Lisandro, une fois à l’intérieur se dirige avec lui dans la salle des armements pour y laisser leurs armes, afin que ceux qui s’en occupent y prennent, soient, afin que le « vilain » sang n’y soit plus présent.

Achille l’attire dans sa chambre, il ne dit aucune protestation et il le suit jusqu’à sa chambre et il y rentre. Sans avoir pu s’empêcher de lancer des regards sombres et glaciaux envers les autres chasseurs d’ombres qui les regardaient avec autant d’assistance, il ne peut pas le supportait et son regard n'était qu’emplie de haine contre eux. Le plus vieux se pose et s’assoit sur son lit alors qu’il se contente de fermer la porte à double tour pour ne pas qu’on vienne oser les déranger, il n’a pas envie qu’on vienne l’embêter pour un « oui » ou pour un « non ». Sentant son regard derrière son dos, il lui demande de venir s’asseoir, tout en ajoutant qu’il ne va pas le mordre, il lui lance une brève pique. - « Sérieusement, tu comptes t’en persuader toi-même, que tu ne vas pas avoir envie de me mordre ? » -. Enchainant avant de s’asseoir sur le lit, mais en laissant une certaine distance, sans vraiment le désirer, mais il s’est juste installé sans chercher à savoir s’il allait être proche ou pas. - « Justement … » -. Lisandro ne prend pas la peine de lui rendre ce type de « sourire », il préfère rester stoïque et le regarder se redresser et prendre la petite trousse de secours. Achille lui demande comment il se sent, il ne cherche pas vraiment à partager la douleur de ses muscles, dû à son arc qu’il a manié avec beaucoup de rager et d’acharnement. - « Ca va … Il n’y a pas mort d’homme … » - . Il fronce les sourcils quand il insiste et il lui lance un regard un peu trop chargé en intensité, mais pas dans le sens positif. - « Non, je t’ai dit ! Tu es sourd ou quoi ? » -. Sur le point de jurer, mais il mord l’intérieur de sa joue pour s’en empêcher.

Adoucissant son regard quand il se pose conte celui de son « ami » qui affiche une mine fatiguée. Achille le cherche et il le sait, parce qu’il le connaît depuis longtemps et qu’il sait qu’il cherche à le provoquer. - « Il n’y a rien à dire et ça ne te concerne pas et ne fait pas comme si, tu t’en souciais. Nous savons tous les deux, que tu t’en fous royalement. » -. Lisandro le regarde avec férocité, avant qu’une pointe de fatigue se fasse lisible certainement, parce qu’il ne semble pas pouvoir le cacher et qu’il n’est qu’un homme après tout, loin d’être un surhomme. Lisandro se lève tout en grimaçant un peu, mais ça ne l’empêche pas d’avancer vers lui, il manque cruellement une fenêtre dans les chambres de cet institut. - « On ne peut même pas respirer un bon air frais ici, et encore moins voir le ciel. On est comme dans une cage et ça m’insupporte. » -. Sa mâchoire se contracte un peu, mais il semble montrer une partie fragile et sensible à Achille, baissant ses murs alors qu’il ne devrait pas se montrer aussi faible.
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Achille Fitzgerald
Achille Fitzgerald
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Message Re: when did I lose myself? // ft. Lisandro posté Ven 26 Oct - 0:43
when did I lose myself?
achille & lisandro

« All the words that leave my tongue feel like they came from someone else. I'm paralyzed, Where are my feelings? Where is the real me? I’m lost and it kills me inside. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Lisandro est explosif et quelque part, Achille le comprend. Il le laisse faire, se laisse engueuler, observe son ami qui semble à bout, frustré, réprimé par ses murs qui ne lui ont rien fait ; la violence le ravage et il l’a laissé exploser, pendant la mission, en se montrant précis mais imprudent, se blessant bêtement. C’est une des raisons qui l’ont poussé à venir ici, loin des regards, pour que le plus jeune s’ouvre un minimum. Avec les années, Achille a appris à le connaitre ; froid et stoïque, il n’aime pas montrer aux autres un visage potentiellement plus tendre, pas même plus amical. Alors qu’ici, dans cette chambre, juste à deux, le brun pense que le chasseur y arrivera mieux, qu’il s’ouvrira. Tout du moins, même si Ash ne réussit pas à le faire parler, qu’il pourra un minimum se détendre dans ses bras. Il lui faut du temps, à Lisandro. Achille aime se penser charmeur de serpent, mais face à la bête sauvage qu’est devenu l’italien, il devait agir de façon encore plus habile, pour ne pas se prendre un coup de griffe ou un coup de dents un peu trop violent.

Achille ne se vexe pas, ne réagit à peine aux cris de son ami. Il se contente de l’observer, les bras croisés, la trousse de secours toujours en main. Il est fatigué lui aussi et ne rêve que d’une bonne nuit de sommeil avant une nouvelle longue et douloureuse journée. Mais Lisandro en a besoin, de libérer sa colère, se montrer plus vulnérable, alors il le laisse faire. « Avant tu ne disais jamais non à cette cage. Elle te convenait. » il est plus calme, regarde son ami, non sans cette pointe avec laquelle il le titille pour mieux le faire réagir. « Si je m’en fichais beau brun, tu sais que je ne poserai pas la question. Si je m’en fichais, tu serais déjà dans ta chambre, enfermé entre ta cage et tes cauchemars. Tout seul. »
Il pose une main sur son torse pour le repousser sur le lit, presque le forcer à s’y asseoir. « Si tu crois me berner avec tes cris, ça ne fonctionne pas, handsome. Si tu veux tout savoir, oui je m’contrefous de ton plan cul magique, » même si c’est faux, terriblement faux. « c’est toi qui me préoccupes, idiot. Parce que tu deviens de plus en plus con. » il secoue la tête, presque tendrement. « Enlève tout haut, tu prendras un des miens, je sais que tu adores ça. » et son côté possessif roule sous sa peau, satisfait de cette proposition. Achille le domine, quelque part, se fait plus grand et prend les commandes, mais cette intimité lui plait, purement amicale, peut-être même fraternelle. Il n’est pas là pour le déshabiller et le toucher, même si le t-shirt déchiré lui donne un air terriblement sauvage et sexy, mais ce n’est pas ce que Lisandro a besoin cette nuit et Ash le sait. « Et ne me dit pas non, on est tous les deux pas d’humeur, j’ai aussi envie de dormir. Alors tu parles si tu veux te plaindre, mais tu me laisses te soigner, sinon tu sais où es la sortie. » son sourire se fait un peu plus amusé, provocateur. « Et tu sais que si tu sors aussi tôt de ma chambre, les autres ne vont jamais te laisser tranquilles avec les questions, Lisandro. »
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Lisandro Giovannoti
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L'enclave ma envoyer : 898 missions depuis mon arrivée à Montréal le : 14/10/2018 Je joue : Matthew Daddario
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Message Re: when did I lose myself? // ft. Lisandro posté Ven 26 Oct - 14:46
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WHEN DID I LOSE MYSELF? † LISANDRO & ACHILLE
Cette vulnérabilité est déplaisante et il voudrait la chasser de ses pensées. Ce n’est pas possible, même si dans le fond, il sait que rien est impossible, mais en ce moment ça ne semble pas être une possibilité et encore moins lui traverser l’esprit. Lisandro se sent prisonnier de l’institut et de ses lois, qui ne semblent pas ou plus le convaincre de poursuivre dans cette voie. Sa liberté, il l’a, à portée de main, mais elle semble aussi lointaine que le temps qui passe. Impossible à toucher dans son intégralité. Sa remarque est loin d’être fausse, elle est emplie de vérité et d’une réalité qui semble ressentir et percevoir, différemment. Lisandro est calme, mais en même temps, ça bouillonne drôlement au fond de ses entrailles. - « Avant, peut-être, même si je n’en suis pas sûre. Cette cage me semblait sans doute « acceptable », quand Astoria était à nos côtés. Maintenant, cette cage m’oppresse et elle ne me convient plus, mais je dois quand même la tolérer. Tout en étant exaspéré envers moi-même, pour ça. » -. Lisandro ressent cette pointe qui le titille toujours, dans n’importe quelles situations. Enviant son calme et sa marbrure, qui semblent aussi durs que la pierre et solide comme un roc. Lisandro aurait préféré qu’il s’en foute ça aurait été bien plus facile. Répondant sur un ton un peu plus ferme, qu’il le pensait. - « Malheureusement. J’aimerai, tu t’en foutes, comme tu le dis. » -. Le fixant durement, mais les traits de son visage étaient tirés, à cause de la fatigue, mais pas uniquement suite à cette mission. –« Être seul n’est pas un problème pour moi, mes cauchemars sont ce qu’il y de plus contraignant pour moi ... » -. Le silence dans cette chambre ne l’apaise pas, bien au contraire.

Une de ses mains se pose sur son torse et l’oblige à s’asseoir sur le matelas, ne lui laissant pas le choix. Lisandro lui obéit alors, parce qu’il n’a pas la force de se révolter ou de résister. Sa remarque, sur son plan cul l’irrite. Répondant sèchement. - « Je ne suis pas du genre à donner mon cul, tu devrais le savoir de toi-même. Je n’ai pas ce genre de « plan ». Ne nous mets pas dans le même navire. Toi avec tes « plans culs » qui défilent, à tous les temps tu es bien mal placer pour me faire ce genre de remarque. » -. Lisandro voulait lui envoyer d’autres piques sanglantes, mais ce qu’il suit et ce qu’il dit ensuite, le coupa dans son élan, qu’il avait laissé défiler de « bon » cœur. Mais il poursuit. - « Si, je le deviens, c’est certainement parce que j’ai « un con », dans mon entourage. Tu ne crois pas ? » -. Achille se montre alors tendre dans ses gestes, ce qui n’est pas commun et encore moins inné, chez lui. Le chasseur lui demande se retirer son haut, levant les yeux vers le plafond. Son côté possessif à tendance à se pointer à des moments, dont, il ne soupçonnerait pas, le « bon » moment opportun pour cela. L’homme le domine, il le sait et il le sent. Levant son visage et révélant la longueur de son cou à cet homme, se soumettant comme à chaque fois, ce qui est parfois vraiment énervant et perturbant. Achille à « ce pouvoir », de lui faire baisser ses barrières, et même à lui faire obéir à « des ordres ». Répliquant et montrant clairement, qu’il cède un peu. - « Pas faux, ils sont confortables, on peut dire … » -. Lisandro semble toujours hargneux. Roulant ses yeux avant de soupirer. - « Fait donc, ce que tu dois faire qu’on en finisse. Je ne suis pas vraiment d’humeur à jouer à ce jeu-là, ce soir. » -. Achille lui renvoi un sourire provocateur. - « Tu peux arrêter de mon sourire comme ça, ça me donne envie de te foutre un « pain ». Pour te faire ravaler ton sourire « colgate ». Hélas, je ne pourrais pas le faire avec l’enthousiasme que je voudrais. » -. Enlevant alors son haut déchiré et couvert de sang. Torse nu, des plaies s’y trouvent un peu partout, il grimace un peu, quand il doit se servir de ses bras et de ses mains, pour s’en débarrasser. - « Aimant, ce que tu vois ? Même si, je voulais partir, tu me retiendrais. Parce que tu veux que je reste et je suis irrésistible pour toi. » -. Son regard est profond et victorieux aussi bien. - « Prend donc soin de mes blessures, au lieu de baver sur mon torse. » -. Lisandro regarde ce qu’il se trouve dans la trousse et il sort, ce dont, il a de besoin. C’est une routine depuis le temps, il savait ce qu’il devait utiliser à part « une iratze » pour pouvoir prendre en charge ses blessures, mais aussi elles des autres, quand c’était nécessaire.
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Achille Fitzgerald
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Message Re: when did I lose myself? // ft. Lisandro posté Dim 28 Oct - 23:38
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achille & lisandro

« All the words that leave my tongue feel like they came from someone else. I'm paralyzed, Where are my feelings? Where is the real me? I’m lost and it kills me inside. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Ils sont tous les deux fatigués, tous les deux sur les nerfs. Pas seulement à cause de la mission, mais à cause de leur vie. Lisandro est encore plus agressif que d'habitude et Achille a du mal, doit retenir des réactions et des réponses plus violentes, comme du venin qui tenterait d'atteindre le plus jeune. Mais au fond, le chasseur n'a pas la force, de réparer ce qu'il pourrait potentiellement dire. Ni la force, ni le temps d'ailleurs.
Sa remarque sur son style de vie aurait dû le blesser, surtout son ton sec et son air presque dégoûté. mais Achille n'a pas honte, se connaît, sait ce qu'il aime. Un sourire, plus petits que les autres, déforme ses traits un instant. « Mais moi au moins, j'assume la vie que je mène. Tu ne peux pas en dire autant. Mais je suis d'accord avec toi, je suis certainement le con avec qui tu traines... un peu trop. »

Achille le pousse et en profite pour ouvrir la trousse de secours, écoutant à moitié ses paroles ; mais le torse nu de Lisandro ne tarde pas à le distraire. Son ami a toujours été attractif et ils le savent tous les deux ; le buste musclé, tatoué, blessé pour lui donner encore un peu plus ce côté sauvage absolument appétissant. Lis finit par le remarquer et lui ordonner de le soigner, au lieu de le manger des yeux. « Parce qu'en plus tu donnes des ordres maintenant Lisandro. » il rigole, plus amusé qu'autre chose, tente de rendre l’atmosphère plus respirable, moins pesant. Il n'attend pas une réponse et nettoie, presque tendrement, ses blessures avec du désinfectant. Il sait qu'utiliser une rune serait plus simple, tellement plus facile, mais il aime cette routine, cette proximité, au fond, cette intimité qui les caractérise bien. Il en profite pour laver le sang qui salissait sa peau chaude, en vérifiant que rien n'est foulé ou brisé en palpant légèrement. « Tu es vraiment un idiot. Te mettre en danger, ce n'est pas la solution. Ta cage n'explosera pas parce que tu reviens en sang à chaque fois... Ta soeur n'aimerait vraiment pas ça. » sa voix se fait plus douce, presque comme s'il parlait à un enfant. « Et détend toi, je ne vais pas te sauter dessus. Je suis sérieux, tu es blessé et je sais que ce n'est pas moi que tu désires, je ne suis pas un violeur, irrésistible ou pas. »

Le temps que le désinfectant sèche légèrement, Achille en profite pour enlever son propre haut et rouler des épaules, les muscles tendus. Il a terriblement envie d'une douche, mais elle attendra demain, il veut d'abord se reposer, ne pas ouvrir les yeux pendant des heures, ne pas penser. Il enfile un de ses débardeurs avant de poser un second sur son lit, à côté de Lisandro. Ce n'est pas la première fois qu'il lui prête ses vêtements, bien au contraire, mais cela lui fait toujours autant plaisir. « Bouge pas trop, je vais quand même mettre un bandage, tu as vraiment été inconscient. » il gronde presque, très humainement, et attrape les bandages que le plus jeune chasseur a sortis de la trousse, entourant son torse d'une main de maitre, fermement pour ne pas qu'ils tombent pendant son sommeil, mais qu'ils ne t'étouffent pas non plus. Une fois fait, Achille prend son temps pour ranger les affaires, toujours aussi fatigué.
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Lisandro Giovannoti
Lisandro Giovannoti
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L'enclave ma envoyer : 898 missions depuis mon arrivée à Montréal le : 14/10/2018 Je joue : Matthew Daddario
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Message Re: when did I lose myself? // ft. Lisandro posté Mer 31 Oct - 22:53
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WHEN DID I LOSE MYSELF? † LISANDRO & ACHILLE
Les traits de son visage sont tirés, un peu de cernes doit se voir sous ses yeux. Achille a raison, mais il est bien trop fier et têtu pour l’admettre à haute voix. C’est vrai, que le plus ancien n’était pas parfait, mais rien ni personne n’est parfait en ce monde. Lisandro est le seul fautif, pour être devenu ainsi depuis la mort et la disparition de sa grande sœur. Ses fesses ne se posent pas en douceur sur le matelas du lit, parce qu’il, l’y a poussé sans le lui dire et encore moins, sans l’invertir. Ses paroles sortent de ses lèvres, mais il voit qu’il ne doit pas entendre, tout ce qu’il vient de lui dire. Puisque ses yeux sont concentrés sur son torse dénudé et parsemé d’innombrables blessures. Ne le supportant que quelques minutes à peine, avant de ramener son esprit en lui disant de s’occuper de ses blessures. Aux lieux de le lorgner, comme s’il était un « bon » morceau de viande à déguster et à apprécier. Sa remarque lui déclenche une petite réaction, en affichant un sourire au coin, avant de lui répondre. - « Apparemment, oui. Peut-être une nouvelle vocation qui sait. » -. Son rire parvient à le détendre un peu, ce qui n’est pas si mal, surtout après une soirée comme celle-ci. L’atmosphère est moins étouffante et plus apaisante.

Sa tendresse lui déclencherait presque des frissons, mais il parvient à les contenir et à ne pas, qu’ils apparaissent sur son torse et ses bras. Lisandro a conscience qu’une rune de guérison pourrait être la meilleure décision. Pourtant, ils sont bien trop épuisés pour le faire, il ne sent pas virulent, pour en dessiner avec sa stèle. Sincèrement et en toute honnêteté, il apprécié d’avantage ses mains sur sa peau et pour soigner ses blessures. Les iratzes sont loin de son esprit et loin, d’être prioritaire. Laissant Achille prendre soin de lui, tout en ne brisant pas le contact visuel et leur proximité. Qu’il accueille plutôt bien ce soir. Loin des regards, des autres, entre les murs de la chambre d’Achille. Il ne se sent jamais emprisonné, mais toujours comme s’il était à la maison et surtout le bienvenu. Lisandro a tendance à agir comme un idiot et il met sa vie en « jeu », à chaque fois et de plus en plus, lui-même le sait encore plus que les autres. Quand, il parle de sa sœur, ses yeux s’embrument directement, parce qu’il est touché et que le chagrin le consume, de plus en plus. La douceur du ton de sa voix le saisit et sans hésitation, Lisandro dégage les compresses et le désinfectant qui se trouvaient dans la main d’Achille. Il prend alors sa main dans la sienne pour la guider et la poser sur ses cheveux décoiffés et ébouriffés. Appréciant le contact de ses mains rêches, mais tendre quand il l’estime de son propre chef. Avant de faire glisser et de poser le cœur de sa main sur sa joue recouverte de griffures, de terre et de sang. - « Astoria … » -. Ses mots semblent avoir du mal à sortir de sa gorge et de ses tripes. Lisandro pose un baiser sur le dos de sa main. Avant de dire d’une voix chaude, tendre et un peu enrouée. - « Là, je suis détendu. » -. Fronçant les sourcils, avant de lâcher et de libérer sa main lentement. - « Depuis, quand est-ce que cela semble t’en soucier ? Ce n’est pas dans tes habitudes. Tu n’es pas un violeur, t’as du prendre un vilain coup sur la tête, pour me sortir un truc comme ça ... » -. Son regard est profond et il poursuit. - « Tu sais que je te désire à ma façon. Je suis sérieux … Même si je n’aurai pas du … le partager ainsi … » -. Un brin songeur, à la suite de cette brève « révélation ».

Le désinfectant sèche légèrement et à son rythme. Lisandro observe le mouvement de ses bras et de ses épaules. Ses muscles sont aussi tendus que les siens. N’ayant le temps de regarder ou de ne s’attarder sur son torse. Parce qu’il met un autre débardeur aussitôt. Son regard se concentre à nouveau, et il voit le débardeur, qu’il a déposé sur le lit enfin. Sur le point de le mettre, mais il n’en a pas le temps. Achille lui demande de ne pas bouger et de le laisser lui mettre un bandage. Aucune objection ne sort de ses lèvres. Ni même une injure. Souriant quand il insiste à nouveau sur le fait qu’il a vraiment été inconscient. Lisandro peut sentir la chaleur du corps de l’homme plus âgé sur son dos et autour de lui. Une fois, le bandage terminé, il met le débardeur noir, alors qu’Achille range ses affaires. La fatigue se perçoit tout autour de lui. Se levant avec précaution avant de marcher vers lui, pieds nus sur le vieux parquet. Un peu usé par le temps, mais toujours aussi résistant. Lui laissant le temps de ranger les affaires, une fois que c’est fait, il pousse la trousse plus loin sur le bureau en bois. Lisandro e fore à se retourner vers lui, avant de grimacer en voyant les traits tirés de son visage. D’une voix douce et réconfortante, enfin, il essaie de l’être du mieux qu’il peut, ce qu’il n’est pas vraiment une tâche facile pour lui. - « Tu as une vilaine mine. Je dirai qu’elle est même pire que la mienne. » -. Si proche, il pose alors ses mains sur ses hanches, en dessous de son débardeur, mais posant ses mains sur le haut de son pantalon sombre et légèrement poussiéreux et montrant les signes de leurs missions sur leurs vêtements, à chacun d’entre eux. Fixant Achille, avant de poursuivre. - « Tu devrais dormir. Tout, comme tu devrais prendre une douche. T’es tendu et ça sera pire demain, si tu ne fais pas attention à ton propre corps aussi. » -. Sérieux, comme toujours. Lisandro a du mal à ne pas être sérieux, c’est dans sa peau depuis toujours.
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Achille Fitzgerald
Achille Fitzgerald
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Message Re: when did I lose myself? // ft. Lisandro posté Lun 5 Nov - 18:13
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« All the words that leave my tongue feel like they came from someone else. I'm paralyzed, Where are my feelings? Where is the real me? I’m lost and it kills me inside. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Ils se connaissent depuis longtemps, pourtant Achille est toujours autant surpris par le côté un peu plus tendre du plus jeune. Il ne devrait pas, et pourtant, sentir sa peau chaude, cette fois-ci pas pour le soigner, lui fait beaucoup de bien. Le brun soupire et essaye de se détendre, caressant les cheveux puis la joue de Lisandro. Il n'a pas le courage de lui demander d'arrêter, préfère ce contact tendre mille fois plus que le contact presque froid, trop distant, en le soignant. Quand il prononce le nom de sa soeur, Ash se tend encore un peu. Astoria. Il la connaissait aussi très bien, plus proche de son âge que de Lisandro. Il se souvient de ses menaces et de leur éclat de rire ; ce n'est plus la même chose depuis sa mort. Mais c'est ainsi, et la vie de chasseur a tenté de le préparer, de le rendre plus fort. Cependant, perdre une amie reste dure. Et si le plus jeune doute de ce fait, Achille pas le moins du monde. Astoria est morte, et c'est mieux ainsi.
Le brun fixe Lisandro à sa révélation. Ash le sait, sinon il n'aurait jamais approché ou touché l'homme de la sorte, s'il n'était pas attiré par lui. Le chasseur soupire encore une fois et le fixe, beaucoup plus sérieusement cette fois. « Je suis au courant. Et je sais aussi que même si je t'attire, je ne suis pas lui. C'est différent, pas vrai ? Tu peux m'en parler... » même si connaître la vérité le blesserait, son être deviendrait fou de jalousie, mais pour Lisandro, il s'éloignerait, le laisserait vivre... Quoi que. Pourquoi mentir ? Il ne compte pas faciliter la tache au sorcier, compte se battre pour son ami intime. Jack, John, ou quel que soit son nom, n'était clairement pas assez bon pour Lisandro. Achille n'avait pas envie de le voir blesser, le coeur brisé.

Alors qu'il range ses affaires, l'autre chasseur s'approche et force leur regard. Les yeux foncés d'Ash se logent dans ceux, bleutés, infiniment beaux, de Lisandro. Il est toujours aussi affectueux, étrangement, et son coeur se serre. Il ricane en l'entendant se plaindre de sa mine horrible et il secoue la tête. « Me rassurer en m'insultant, je pensais que tu étais plus doué que ça, beau brun. » le surnom lui échappe, lui qui s'en sert normalement pour garder les gens loin de son coeur. Peut-être que c'est aussi le cas, cette fois, mais Lisandro est déjà beaucoup trop proche de son palpitant, dangereusement proche. « On a tous les deux besoins de dormir. Tu restes ? » sa voix est pleine d'espoir, lui qui déteste dormir seul, surtout après une mission pareille. Il attend à peine la réponse du brun avant de le tirer jusqu'à son lit. « Qui plus est, demain on s'entraine ensemble, ce sera plus facile comme ça. » il en profite, bien sur qu'il en profite. Achille sait bien que les ordres ne fonctionnent pas toujours alors il prend les devant et se couche sous la couverture en premier, en lui laissant une petite place, sans lâcher le poignet du brun.
(c) DΛNDELION
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Message Re: when did I lose myself? // ft. Lisandro posté Sam 10 Nov - 0:52
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WHEN DID I LOSE MYSELF? † LISANDRO & ACHILLE
Son air sérieux n’est pas une expression, qu’il lit souvent sur son visage. Ses mots le secouent un peu et il a du mal à le cacher, dans sa globalité. Que répondre après ses paroles ? Lisandro semble avoir la gorge nouée, des difficultés à « avaler », sans ressentir ce goût amer dans la bouche. Achille lui donne l’autorisation de lui en parler. Cet homme l’attirait, tout comme il arrivait à atteindre son cœur, de plus en plus au fil du temps. - « Pourquoi me parler de différence ? N’ai ce pas suffisant de savoir que tu arrives toujours à m’atteindre. Ne puis-je pas te percevoir comme un homme dont j’ai besoin ? N’y a-t-il pas différentes façons « d’aimer », mon cœur ne veut pas, il peut accueillir des « sentiments ». Tu ne crois pas ? » -. Même si le sorcier arrivait à le toucher, Lisandro ne pouvait pas oublier Achille. Il ne voulait pas que ça prennent fin. Sa jalousie, il pourrait l’accepter, il ne voulait pas qu’ils s’éloignent l’un de l’autre. Sentant son odeur et le souffle de l’air, provenant des mouvements du plus ancien. Il y respire son odeur, la cherchant et la manquant quand elle s’éloigne de lui. N’acceptant pas qu’elle lui soit inaccessible, il a besoin qu’elle soit toujours à portée de main.

L’autre range ses affaires et lui tourne le dos. Lisandro s’approche et force la connexion de leur regard respectif, mais pas aussi différent, qu’on voudrait le croire ou qu’eux-mêmes songeraient. Le sombre de son regard parvient toujours à le saisir. L’expression de tendresse pure devrait le perturber ou le déplorer, mais il n’est rien de tout cela. Lisandro aime s’y plonger et s’y attacher. Son cœur semble s’emplir de chaleur, mais se serrer aussi, mais rien qu’il ne voudrait pas ressentir. Le silence, le plus jeune le rompt, en agissant avec un brin de taquinerie sans vraiment exceller dans ce domaine. Ça ne veut pas dire, qu’il les chasse de son esprit. Il n’est pas vraiment de « genre » d’homme. Fronçant le nez, quand il lui dit qu’il le pensait plus douer que ça. Les mots « beau brun », ce surnom le perturbe un peu, car il ne sait jamais comment l’interpréter. Achille est le plus perspicace ce soir, il sait aussi qu’ils ont besoin de dormir. L’homme ténébreux et judicieux qu’il est, ne lui laisse pas le temps t’interagir. Comme s’il avait peur qu’il ne l’échappe et le laisse dormir seul. D’ordinaire, il aurait pu objecter, mais le plus souvent être avec lui et partager son lit, semble être ce que Lisandro a de plus en plus besoin. Surtout, depuis la mort « présumée de sa sœur aînée. Achille ne lâche pas son poignet, même quand il s’allonge dans son lit et sous sa couette. La prise ferme, sans être douloureuse et d’une chaleur sincère l’entoure. Lisandro l’observe pendant tout le long, il se glisse alors à son tour sous la couette. D’un geste précis mais léger, il arrive à lui faire lâcher son poignet, tout en le rassurant, dans un même temps. - « Je ne vais nulle part, Ash‘. » -. Son bras vient s’enrouler autour de sa taille, ses doigts touchent et caressent le côté de son corps, en douceur et par dessus son haut. Glissant sa jambe entre les siennes et il le regarde intensément. - « Si, je ne veux pas dormir, est ce que tu m’en voudras ? » -. Baillant un peu, sans pour autant somnoler. Posant son visage sur son torse, tout en frottant sa joue et y glissant et appuyant son nez sur son haut, sentant son odeur, ça l’apaise beaucoup. Le fixant, avant de montrer sa vulnérabilité. - « Promet moi, que tu ne me quitteras jamais, jure le … » -. Se blottissant encore plus solidement au creux de ses bras et de l’assurance, de la force de son corps, qu’il le reste tout le temps. Malgré les épreuves et c’est d’un tel réconfort, pour l’homme qui n’est pas toujours confiant et qui, dans le fond, à peur d’être seul. Perdre Achille, il ne sait pas s’il pourra le surmonter.
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Achille Fitzgerald
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Message Re: when did I lose myself? // ft. Lisandro posté Lun 19 Nov - 0:25
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« All the words that leave my tongue feel like they came from someone else. I'm paralyzed, Where are my feelings? Where is the real me? I’m lost and it kills me inside. »
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Achille est sur le point de râler lorsque Lisandro l'oblige à lâcher son poignet, il n'avait pas envie de le lâcher, de ne plus sentir ce point rassurant entre ses doigts, quand le brun le rassurer, lui certifiant qu'il n'ira nul part. Ash lâche un long soupire et tente de se détendre. Il ne dit rien, mais Astoria aurait pu dire la même chose, ses parents aussi. Personne ne peut promettre ce genre de chose, tout le monde finit par partir, s'éloigner, se disputer, ou pire, mourir. Mais le plus vieux se contente d'un haussement d'épaules et se passer à son tour ses bras autour des épaules de Lisandro, le serrant contre lui. Il ne l'écrase pas, pas encore, mais fait attention à ce que l'italien ne puisse pas s'enfuir de son étreinte. Peut-être qu'il est parano, à cause de la mission sûrement, mais il a l'impression que s'il lâche le plus jeune, le laisse partir, ce dernier en profitera pour l'abandonner, d'une quelconque manière que ce soit. Achille n'est pas prêt, à le laisse partir, laisser l'autre sorcier prendre la place qu'il avait pendant si longtemps occupé dans le coeur du chasseur.
Lisandro baille et le brun ne peut pas lui en vouloir, jamais. Il secoue pareisseusement la tête, résistant à l'envi de bâiller à son tour. Ash le regarde faire, se frotter à son haut et y cacher son visage. Le chasseur se sent beaucoup trop attendri par ce qu'il voit, il a envie de prendre soin de Lisandro. Lisandro, qui a trop vu, trop vécu. Il n'aurait jamais dû perdre sa soeur ; mieux, il n'aurait jamais dû être un Shadowhunter. Achille ne l'aurait alors surement jamais rencontré, mais au moins, l'italien serait bien plus en sécurité, dans sa petite vie humaine bien rangée.

Il plonge dans les yeux si bleus de l'ange caché dans ses bras. C'est étrange, de le voir aussi ouvert, dévoilant ainsi ce qui lui fait peur, les quelques incertitudes qui l'habitent encore, surement réveillées par la mort de sa soeur. Achille caresse lentement le dos du brun, avant de remonter sa main pour jouer avec les mèches foncées, pendant de longues minutes. « Me perdre ? Jamais, Lisandro. Je suis fort ; et je sais que le jour où je ne le serais plus assez, tu seras là pour me sauver, petite tête. » il tire doucement sur une méche, pas douloureusement, juste pour souligner ce qu'il vient d'avouer, vérifier que Lisandro ne s'endort pas sur ses vérités inavouables. « Je ne partirai pas... Mais peut-être que toi, un jour, tu auras besoin de partir. » il ricane, pas très fort, ne désirant pas briser le moment si doux. « Tu as peut-être besoin de moi, pour l'instant, dans ton coeur qui peut accueillir tant de monde... Mais ton sorcier, il a été là où je ne suis pas, dans ton coeur. » Achille soupire et pose un léger baiser sur le front du plus jeune, extrêmement tendre. « Ce n'est pas une mauvaise chose, tu en as besoin... C'est à toi de me promettre quelque chose, beau brun. » il penche la tête, laissant quelques secondes leurs lèvres se frôler. Le brun chuchote, si bas, juste pour eux deux : « Promets moi de ne plus faire l'idiot. J'ai besoin de toi, j'ai toujours eu besoin de toi. Tu n'es pas comme mes autres plans cul... Alors ne disparait pas, ne me quitte pas non plus. » Il ne l'embrasse pas, pas encore, attend la confirmation dont il a tant besoin.
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Lisandro Giovannoti
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Message Re: when did I lose myself? // ft. Lisandro posté Lun 19 Nov - 20:55
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Son regard est un véritable réconfort pour lui, le brun de ses prunelles et le sombre de ses rétines, ont toujours réussi à le rassurer, tout comme à le persuader. Cacher dans ses bras, se liant à lui sans la moindre hésitation. Soupirant contre son épaule robuste, quand il caresse tout doucement son dos. Sa main remonte pour jouer avec l’une de ses mèches brunes, il le fait longuement et il s’efforce de garder les yeux ouverts, ne voulant pas les fermer trop longtemps, de peur que le sommeil l’emporte. Lisandro ne veut pas sombrer dans le sommeil, il ne souhaite pas, même s’il sait qu’il ne pourra pas l’éviter éternellement. Puisqu’il n’est qu’un homme envers et contre tous. Achille le rassure et il le regarde avec intensité et espoir. Il croit en lui, comme il le fera jusqu’au bout. Même Loevan, son meilleur ami. Lisandro croit en eux, bien plus qu’en lui-même, même s’il le cache et qu’il se montre arrogant et hautain. Au fond, il a des doutes qui peuvent souvent devenir une réelle faille, faiblesse s’il ne parvient pas à garder le contrôle. Certaines barrières qu’il a construites et qu’il ne veut pas voir ou laisser céder. Son regard est intense et son pouce caresse l’une des pectoraux d’Achille, avant de répondre. - « Toujours, mais qui sait, un jour, tu n’auras peut-être plus besoin de moi. Quelqu’un pourrait aussi prendre plus d’ampleur que moi. Qu’est-ce que je serai supposé faire quand cela arrivera ? » -. Grimaçant un peu, mais par réflexe, rien à voir avec la douleur, quand il tire doucement sur sa mèche de cheveux. Achille le surprend, il ne pensait pas qu’il pouvait avoir autant d’importance, dans son cœur. Le sien peut aimer sa famille, d’un amour sans faille. Il est dans son cœur aussi, mais peut-être qu’il ne lui a pas montré suffisamment, depuis des années où ils se sont rencontrés. - « Tu es dans mon cœur, tout comme ma sœur. Tu fais partie de ma famille aussi. Je ne sais pas si je suis capable de t’aimer, comme tu le mérites. L’amour dans « ce sens », est un mystère pour moi. Je suis novice en tout ce qui concerne les relations, de ce genre. Tu le sais encore plus que les autres. Finalement, au lieu de te rendre heureux, comme je le voudrais. Tu es malheureux à cause de moi. » - Lisandro pourrait continuer à se livrer, mais c’est alors qu’il dépose un baiser sur son front. N’ayant même pas parlé du sorcier, sans vraiment savoir pourquoi. C’est faux, il sait pourquoi. C’est parce qu’il n’a d’œil et ne pense qu’à Achille, en ce moment. Tout le reste n’a pas la moindre importance.

La tendresse de ses lèvres et de ses gestes, le rendant doux à son tour. Le besoin, il le ressent avec plus de vivacité en cet instant. Ses mots lui confirment même dans ce cheminement et dans l’évidence. Quand, il lui demande de lui promettre quelque chose, il lève son regard vers lui et il se concentre, rien que sur lui. Répondre, il ne peut pas, car ses lèvres effleurent les siennes légèrement. Il se penche vers lui, appuyant son front contre le sien, son nez touche le sien un peu. Le chuchotement de ses paroles, d’une promesse glisse sur ses lèvres doucement. Le souffle chaud de son souffle l’effleure. - « J’ai besoin de toi aussi. Je … » -. Que dire maintenant ? Rien, parce qu’il ne peut pas lui promettre, car les promesses peuvent facilement apparaître, mais aussi disparaître. Lisandro ne peut pas lui mentir. - « Je ne veux pas promettre, car quand on promet rien ne dis qu’on ne brisera pas la promesse. Je ne veux pas t’affliger cela et encore moins te mentir. Entre chasseurs d’ombres, nous savons tous les deux, que souvent les promesses peuvent se briser. » -. Lisandro se redresse, pour pouvoir s’asseoir autour de sa taille, posant ses fesses et ses cuisses sur son bas-ventre et sur ses propres cuisses. Loin d’être intimidé, son corps reste toujours aussi svelte, malgré cette mission, malgré la mission qui fut périlleuse, mais nécessaire pour baisser les barrières de chacun des deux. Fixant son torse, son corps avec insistance avant de te regarder tout en se penchant et se cambrant un peu vers lui, pour allumer la lampe de chevet. Son torse, son ventre, tout contre, le sien presque, séparé d’à peine un centimètre. La lumière permet de mieux distinguer l’homme qui se trouve à ses côtés. - « Tout ce que je peux dire, c’est que je serai avec toi, d’une manière ou d’une autre et que j’essaierai d’être plus prudent à l’avenir. Si ce n’est pas le cas, je compte sur toi pour me le rappeler de la manière que tu le souhaiteras. J’en fais le serment. » -. Achille ne l’embrasse pas, alors qu’il sait qu’il en meurt d’envie comme toujours. C’est vrai, cela fait longtemps, que Lisandro ne l’a pas laissé l’embrasser ou le toucher. Il le regarde, tout en posant ses mains sur son torse. Avant de poser son index sur les lèvres, du plus ancien. - « Tu veux me toucher ou m’embrasser ? Ou plus … » -. La franchise est sa force, mais elle peut aussi souvent être cru et abrupt. - « Je te donne la confirmation que tu attends, que tu as de besoin … je dis oui. » -. Décidant de s’allonger au-dessus de lui, en ayant veillé à écarter ses cuisses avec son genou, pour se glisser entre ses cuisses musclées, mais qu’il sent tendu à cause des efforts qu’il a dû décupler par sa faute. - « Alors … » -. Attendant ses réactions, sentant quand même une boule au ventre apparaître, mais aussi son bas-ventre bien plus chaud que d’ordinaire. La chaleur les enveloppe, tout doucement. Se demandant s’il va s’y prendre de la même manière qu’avec ses « plans culs » qu’il voit entrer et sortir parfois, voir régulièrement de la chambre d’Achille. Lisandro se demande s’il a couché avec un homme dans ses mêmes draps. Il sent la jalousie, la colère et le chagrin le saisir de plein fouet, transparaître aussi en son regard, à cet instant. - « Je crois … je suis certain que je t’aime Ash. Mais toi, est ce que tu m’aimes ? Tu sais, tu peux aussi être celui qui pourrait me briser le cœur, et non moi. N’y as-tu jamais songé ? Qu’au lieu de moi, tu pourrais être celui qui pourrait briser mon coeur ? » -. Ses yeux sont sincères et il est sur le point de se redresser et de vouloir prendre la fuite, comme il peut lui arriver de le faire, parce que oui, il peut aussi être lâche et faible, quand ça touche ses sentiments.
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Achille Fitzgerald
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Message Re: when did I lose myself? // ft. Lisandro posté Ven 23 Nov - 17:35
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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Achille l'écoute, tente de ne pas l'interrompre. Il a envie, peut-être même besoin, d'entendre ce que Lisandro lui raconte. Les mots le rassurent et le blessent, mais au moins maintenant, il sait, il comprend un peu mieux. Le brun l'observe, alors qu'il se redresse et semble déterminé à s'asseoir sur son bassin. Interloqué, sa main vient se poser sur la cuisse de Lisandro, caressant légèrement le tissu. Ce besoin de contact est viscéral, rassurant quelque part, Achille a toujours autant besoin de cette chaleur, cela ne changera sûrement jamais. Lisandro à raison, les promesses en tant que shadowhunters sont une mauvaise idée, continuellement brisées ; rien ne finit bien dans ce monde, encore moins en ce moment. Le plus jeune est toujours aussi beau, pire, la mission lui a donné un air sauvage, de prédateur en train de chasser, légèrement blessé par sa proie, mais victorieux. Il se cambre pour allumer la lumière, et même si la lampe agresse sa rétine, Ash ne veut rien manquer de se spectacle, de Lisandro presque collé à lui, dangereusement proche. Achille lève les yeux au ciel quand le brun lui dit qu'il fera attention, ou en tout cas qu'il comptait sur lui pour lui rappeler d'être prudent. Le chasseur a bien quelques idées, mais qui ne plairaient pas plus que ça au plus jeune...
Sauf que... Lisandro lui donne l'autorisation. L'embrasser, le toucher, plus ? Ash en a envie, terriblement, mais il ne bouge pas. Ne sait pas quoi faire, alors qu'enfin, le chasseur lui offre sur un plateau ce qu'il a longtemps désiré : son corps. C'est soudain, mais pas surprenant, pas après les paroles de l'italien. Achille a peur de lui briser le coeur ; Lisandro est fou s'il pense que le plus vieux n'y a jamais pensé. C'est sa phobie, finir par disloquer le lien si étrange qui les unit.

Le chasseur attrape le poignet du plus jeune, parce qu'il le connaît, un peu trop bien ; et les sentiments ne sont pas les meilleurs amis de Lisandro. Il le voit déjà fuir, son regard qui se dirige vers la porte, les muscles tendus, prêts à bondir pour s'échapper. Ash hésite encore quelques secondes et pourtant ce n'est pas son genre. « Je ne peux pas. » qu'il lâche en un souffle, comme si cette simple phrase lui était arrachée de force. « Crois moi, j'en ai envie. Mais je ne peux pas. Justement... Je n'ai pas envie de te briser le coeur. » Achille secoue la tête, n'ose pas le regarder dans les yeux. « Tu n'es pas en état. Tu as perdu ta soeur, tu as des tendances auto-déstructrices, tu es en plein doute. Je n'ai pas envie de te toucher maintenant, Lisandro. » la prise sur son poignet se resserre, pour ne pas lui laisser l'occasion de fuir pour de bon. « Et tu sais que je t'aime, par Raziel, tu sais à quel point c'est vrai. Mais je ne veux pas que notre relation change, parce qu'elle changera en pire, quoi que je fasse. » il lâche un second soupire, à la fois fatigué et résigné, avant qu'un léger sourire ne remplace sa triste attitude. Achille tire Lisandro à lui et attrape son visage en coupe, avec une tendresse presque insoupçonnée pour l'embrasser. C'est un baiser délicat, presque fragile, et le si célèbre Don Juan se sent presque maladroit. L'étreinte est brève mais intense et encore une fois, Ash colle leur front, le temps de reprendre son souffle. « Ton sorcier ne va pas être content... » il doit se le rappeler, aussi, que Lisandro n'est pas le meilleur pour prendre des décisions quand ses sentiments s'affolent, et c'est exactement ce qu'il se passe. Achille ne veut pas abuser de leur confiance, refuse de changer leur relation alors que Lisandro a peut-être trouvé quelqu'un qui ne le rendra pas malheureux.
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Message Re: when did I lose myself? // ft. Lisandro posté Sam 1 Déc - 22:16
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Cette main qui se pose sur sa cuisse, et son contact qu’il ressent au travers du tissu l’atteint plus qu’il ne le devrait, mais il ne veut pas le fuir, enfin par pour le moment. Ce besoin de cette chaleur et de cette proximité, il la ressent un peu plus ancré en lui, ce soir que d’ordinaire. Il ne cherche pas pour autant à comprendre pourquoi. Tout en se cambrant pour allumer la lumière, les rapprochant alors même si ce n’est que pour quelques secondes jusqu’à ce que la lumière soit allumée. Pouvant alors mieux voir son visage, ces expressions et puis, son corps. Lisandro décide alors, de lui donner l’autorisation de le toucher ou de l’embrasser ou de faire bien plus, s’il le désire, mais le plus ancien ne semble pas être capable de faire le moindre geste, c’est comme s’il s’en empêchait et qu’il se l’interdisait. Quand, il ne voit pas la moindre réaction, il décide de prendre la fuite comme il le fait la plupart du temps, quand ça concerne les sentiments et la proximité.

Ses muscles sont tendus, il n’arrive pas à se détendre car il cherche à prendre la fuite, mais Achille l’en empêche en le retenant à sa manière. Lui lançant qu’il ne peut pas, alors il le regarde froidement avant de répondre. - « Alors, laisse- moi partir … » -. Même s’il avait mis plus de temps pour le sortir de ses lèvres, Lisandro n’avait pas eu ce même problème pour lui répondre. Un sourire au coin, mais rien de tendre dans ce genre de sourire, que ça ne l’est d’ordinaire. - « Comme c’est gentil de ta part de t’en soucier … » -. Il n’ose pas le regarder dans les yeux et ça l’insupporte vraiment, qu’il baisse le regard en sa personne. - « Regarde-moi quand tu me dis ça. Bien dans ce cas ne me touche pas, et laisse-moi partir, bordel. »-. Il essaie de se libérer de la prise qu’il exerce sur son poignet, sans résultat concluant, elle se resserre même et s’il tente de s’en échapper, il sait qu’il en viendra à briser le poignet de Lisandro, alors il arrête de protester. Il ne veut pas prendre la peine de lui répondre pour le reste. Et puis même s’il le voulait, il ne pourra pas le faire parce qu’il sent que le plus ancien capture son visage entre ses mains et qu’il le rapproche de lui et de son visage. Tendrement que ça en est troublant. La délicatesse du baiser, et cette maladresse qu’il peut ressentir à travers ce geste, n’ayant pas le temps d’approfondir le baiser, et même s’il le souhaitait, il sait qu’il n’aurait pas approfondir ce baiser délicat et léger, parce qu’il était parfait. Puis, son front se colle contre le sien et il pose ses mains sur son torse pour le tirer tout doucement par son t-shirt, pour l’attirer vers lui, avant de répondre calmement. - « Ce n’est pas le sujet maintenant, c’est toi et moi. C’est tout ce qui compte à présent. » -. C’est sa décision, elle n’est sans doute pas parfaite et qu’elle est dangereuse, mais il n’en a pas peur. Posant ses mains derrière sa nuque en douceur pour l’aider à s’allonger sur le dos dans le lit et pour que son visage se pose en douceur sur l’oreiller. Tout en mettant une de ses mains sur l’oreiller et l’autre caressant le visage, du plus ancien et son pouce cajolant la douceur, mais aussi les gerçures de ses lèvres, mais sans pour autant ne pas avoir envie de les embrasser. - « Tu me dis souvent de lâcher prise, alors je te le dirai à mon tour lâche prise, non, même lâchons prise ensemble. » -. Lisandro s’allonge sur lui doucement pour qu’il puisse être contre lui le plus confortablement et proche possible. Posant son ventre ferme contre le sien qui l’est bien plus que lui, de toute évidence. Il le ressent, chaque pectoraux se trouve contre les siens. - « Maintenant, je vais t’embrasser … » -. Il lui sourit et il ne fuit pas, posant ses lèvres doucement contre les siennes, alors que sa main qui était sur l’oreiller se glisse tout doucement sous le bas de son haut, pour toucher doucement son bas-ventre chaud qu’il caresse tout doucement avec sa main et ses doigts. Bougeant ses lèvres un peu contre les siennes, aimant sentir la fermeté de ses lèvres masculines entre les siennes ou contre les siennes. Appuyant son nez contre le sien, tout en laissant son souffle chaud s’entendre, son autre main caresse sa joue lentement et doucement. Avant de poses ses deux mains sur les hanches, du plus ancien, qu’il touche tendrement et glissant parfois ses mains sous son haut pour toucher l’os de ses hanches, mais aussi son ventre, sans rompre le baiser, les laissant juste en suspend quelques secondes pour ne pas perdre son souffle, avant de l’embrasser à nouveau.
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