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Abbadon Valentine
Abbadon Valentine
Shadowhunter
L'enclave ma envoyer : 507 missions depuis mon arrivée à Montréal le : 04/03/2014 Je joue : Nina Dobrev
Roman Abbadon Empty
Message Roman Abbadon posté Lun 3 Déc - 20:54


Chapitre 1

 

J'ouvrais les yeux avec violence, ce cauchemar, cette terrible chose venait encore de torturer ma nuit. Cela c'était encore passé dans ma tête, comme si c'était un film d'horreur. Pourquoi mon esprit me faisait encore voir cette chose aussi horrible, cette chose que j'aimerais oublier à tout prix, mais qui est gravé comme dans la pierre, impossible à enlever. Pourtant, tout le monde essaye de me persuader que c'était le contraire et que ce n'était pas de ma faute, que cette voiture en face de moi avait dévié de sa trajectoire pour venir raconter la nôtre. Je savais pertinemment que tout était de ma faute, que j'avais pris la vie de mon frère cette fameuse nuit. Que la seule responsable ne pouvait être que moi, car c'était moi qui étais au volant de cette voiture. Mais j'aurais tellement pu faire quelque chose, j'aurais pu tourner le volant pour éviter tout cela, mais non. J'étais restée là sans faire le moindre geste à regarder cette lumière blanche devant mes yeux.

Après cela, je ne me rappelais plus de grand-chose, les images dans ma tête apparaissaient comme des flashs. Je m'étais réveillé et avais vu le corps couvert de sang et sans vie de mon frère. Mon Dieu que j'aimerais enlever cette image de ma tête, j'aimerais tellement qu'il soit encore là. J'aimerais qu'il me prenne une dernière fois dans les bras pour me rassurer. Il me manque tellement, une larme coulait le long de mon visage chaud et dégoulinant de sueur. Je me sentais tellement mal que je décidais de marcher péniblement vers la salle de bain. Le choc avait été tellement violent que mon corps me faisait encore souffrir horriblement. Quand je me retrouvais face à mon propre reflet, un choc m'avait littéralement parcouru. Je ne m'étais pas vu depuis l'accident qui remonte maintenant à environ deux semaines. Mon corps avait tellement été fragilisé et je ne l'avais pas aidé en ne voulant pratiquement plus me nourrir. J'avais la peau sur les os, mes cotes ressortaient en dessous du t-shirt, mes clavicules étaient encore plus visibles qu'avant. Il y avait de grande cernes en dessous de mes yeux chocolat, mon long cheveu noir en avait pris un coup eut aussi. Mon teint était extrêmement pâle, j'avais l'impression de ressembler plus à un cadavre qu'à la fille que j'avais connue quelques semaines plus tôt. J'étais une personne complètement différant presque inconnue. Si mon frère m'avait vu dans cet état, j'aurais certainement passé un sale quart d'heure. Mais il n'était plus là, il n'était plus là pour me dire des choses si important, plus jamais je ne m'engueulerais avec lui pour des choses si inutiles. Je n'arrivais pas à voir ma vie sans lui dans la mienne, c'était impossible, je ne pourrais jamais avancer. Adam était tout pour moi, il avait été un père, un confident, un frère exemplaire et c'était à cause de moi qu'il n'était plus là maintenant. Il était tellement jeune, il avait encore tellement de choses à faire et c'était fini. C'était moi qui aurais dû lâcher ce dernier souffle de vie sur cette terre, pas lui ! Une boule qui me faisait énormément mal se formait progressivement dans ma gorge et je ne pouvais m'empêcher d'éclater littéralement en sanglots. Les dernières forces de mon corps venaient de me lâcher et je me sentais de plus en plus lourde, je décidais de lâcher prise et de laisser mon corps tomber sur le carrelage froid de la salle de bain. J'étais à présent par terre en train de pleurer toutes les larmes de mon corps sans pouvoir m'arrêter un instant.

- Abbadon !

Jax m'avait sûrement entendu pleurer et c'était réveillé, il s'était agenouillé par terre près de moi et m'avait pris dans ses bras. Le contact de son corps contre le mien me rassurait, sa peau était douce contre la mienne qui était humide et chaude. Il était mon meilleur ami et il m'avait ordonné de venir dormir chez lui, car il ne voulait pas que je surmonte cette épreuve toute seule. Il devait sûrement savoir que je ne pourrais certainement pas faire face à cette épreuve seule, alors il m'avait dit de venir chez lui pour avoir un œil sur moi. Il était aussi un très bon ami à mon frère, il était là depuis le début de notre histoire, nous étions inséparables, nous avons fait les quatre cents coups ensemble et nous avons même terminé au poste de police une fois. Jax était comme un deuxième frère que la vie ne m'avait pas donné et je ne pourrais jamais assez le remercier de ce qu'il avait fait pour nous depuis le début de notre rencontre. Il avait payé tous les frais d'enterrement de mon frère, ce qu'il avait fait pour moi était beaucoup trop et je lui avais promis de lui rembourser chaque centime. Il était entré dans nos vies quand nous avions le plus besoin de quelqu'un, il a réussi à nous faire surmonter la perte de nos parents. Il nous avait tout simplement aidés à avancer malgré nos cœurs détruits par le chagrin. Maintenant, je n'avais que lui, il n'y avait que lui qui me connaissait pratiquement comme Adam me connaissait et je savais que je pouvais compter sur lui. Je savais que si je flanchais, il serait là pour me rattraper dans ma chute et me remettre sur pied. Mais j'avais tellement mal, j'avais mal et je voulais que tout cela cesse, je voulais arrêter de souffrir. Mais je savais que c'était impossible et que cette douleur au plus profond de mon cœur en morceaux n'allait peut-être jamais partir et que je devrai vivre avec. Mes larmes continuaient de couler, alors que j'essayais tant bien que mal de reprendre une respiration normale et de me calmer. Jax avait toujours ses bras autour de moi et sa tête était venue se poser contre la mienne.

- Je suis la Abbadon, ne t'inquiète pas, tout va bientôt aller mieux, je vais y veuillez. Je te le promets. Tu peux compter sur moi.

De sa douce main, il venait essuyer les larmes qui coulaient le long de mon visage et déposait un doux baiser sur mon front qui m'avait calmé. Comme si ses lèvres sur mon front m'avaient totalement apaisé. Ma respiration redevenait normale, les larmes, c'était arrêté et je regardais mon ami dans les yeux sans dire un mot, toujours étendu dans la salle de bain. Je n'osais même pas imaginer mon visage à ce moment-là. Je devais faire peur à voir. Je me relevais doucement pour m'asseoir, toujours les yeux plongés dans ceux de mon ami. J'entourais ensuite mes bras autour de Jax pour lui faire un câlin.

- Merci !

La gorge encore légèrement nouée, je n'avais sortir qu'un merci, qui avait extrêmement de mal à sortir. Je sentais que Jax m'avait serrer très fort dans ses bras, comme s'il avait terriblement peur de me perdre. Comme si à tout moment je pouvais lui échapper et que tout serait fini. Je fermais les yeux un instant avant de sentir le froid du carrelage se dissiper. Jax me portait dans ses bras et marchait en direction de sa chambre, il me posait ensuite délicatement sur son lit, avant de disparaître et de revenir avec un verre et une serviette dans la main.

- Prends le verre d'eau, cela te fera du bien.

J'écoutais ses ordres et bu la totalité du verre, il s'approchait ensuite de moi, pour essuyer la sueur sur mon visage. Comment un homme que lui pouvait être seul dans sa vie. Ce n'était pas possible, il était tellement attentionné à l'écoute et savait quoi faire au bon moment. Il était extrêmement beau, avec ses cheveux aussi blonds que le soleil, ses yeux d'un vert profond et avec se sourire qui aurait fait craquer plus d'une femme. J'avais tellement envie de le savoir heureux, mais avec moi dans les parages, c'était impossible. Il ne pouvait pas ramener de fille chez lui ou même des invités au restaurant, car j'étais là et qu'il ne voulait pas me laisser seul. Il se privait d'avoir une vie à cause de moi et cela, je ne pouvais en aucun cas le cautionner ! Je m'allongeais paisiblement dans le lit où Jax était venu me rejoindre. Il s'approchait de moi, entourant une nouvelle fois ses bras autour de moi. Son corps contre le mien, je me sentais totalement en sécurité et sombrais dans un paisible sommeil cette fois-ci. Le lendemain, matin, la lueur du soleil qui illuminait mon visage m'avait réveillé. Je n'avais aucune idée de combien de temps, j'avais dormi, mais en tapotant le côté du lit où était Jax, je constatais qu'il n'y avait personne. Mon regard se dirigeait comme instinctivement vers le réveil sur la commode, il affichait onze heures du matin. Ce n'était pas possible, je n'avais pas dormi autant ! Je me levais en quatrième vitesse et descendais les escaliers pour rejoindre la cuisine où était mon ami.

- Bonjour beauté, installe-toi dehors, je vais te préparer ton petit-déjeuner. L'air frais et le soleil te feront le plus grand bien.

Je lui adressais un sourire avant de m'installer sur l'immense terrasse, la vue était magnifique, il y avait un énorme étang qui venait pratiquement jusqu'à la terrasse. Le soleil reflétait sur l'eau. Il était seul, la maison était installée sur un très grand terrain entouré d'arbres. Je fermais les yeux et laissais le vent s'engouffrer dans mes longs cheveux. Je profitais de ce calme, des oiseaux qui chantaient, de cette douce et paisible musique que la nature m'offrait. Perdu dans mes pensées et concentrer par les bruits de la nature, je n'avais pas entendu mon ami faire son apparition avec un plateau rempli de nourriture, j'avais sursauté et il avait rigolé.

- Je suis désolée ma belle, je ne voulais pas te faire peur, tiens, j'ai pris beaucoup de choses que tu aimes, alors tu devrais manger cette fois-ci. S'il te plaît, mange, tu en as besoin.

- Ce n'est rien ne t'inquiète pas, Jax, tu es un amour, tu n'es pas obligé à faire tout ça pour moi. Je veux dire, je peux rentrer chez moi et te laisser tranquille. Tu n'as pas besoin de m'avoir tout le temps dans les pattes. Tu as des choses à faire et je ne veux pas t'embêter plus avec toutes mes histoires. D'ailleurs, je vais te rembourser chaque dollar que tu as déboursé pour moi.

Jax avait posé son plateau sur la table, avant de s'asseoir près de moi et de poser une main sur ma joue. Le contact de sa peau contre la mienne, m'avait littéralement donné une décharger dans tout le corps. Il affichait ce si joli sourire que seul lui avait le secret.

- Abbadon, si je fais tout cela, c'est que j'en ai envie. Je veux être là dans ce moment aussi difficile pour toi que pour moi. Adam était aussi mon ami, il était comme un frère et je lui ai fait une promesse. Je lui ai promis de te protéger quoi qu'il lui arrive et je compte bien la tenir. Tout ce que je fais, c'est par plaisir, je tiens extrêmement à toi et te voir comme ça me rend triste. Je n'ai pas l'intention de te laisser même si tu devais me supplier. Tu fais partie de ma vie Abbadon et en aucun cas, je veux te perdre.

Les mots qu'il venait de me dire, m'avaient ému et une larme, c'était échappé de mon œil, qu'il essuyait aussitôt avec son doigt.

- Merci.

- Ne me remercie pas Abbadon, c'est quelque chose de normal. Maintenant mange quelque chose.

Je n'avais pas particulièrement faim, mais pour lui faire plaisir, je mangeais un croissant qui sentait particulièrement bon et buvais un chocolat extrêmement intense en cacao. Je n'avais encore jamais goûté un chocolat chaud aussi bon. En même temps Jax ne devait pas choisir du chocolat de qualité médiocre comme j'avais l'habitude de prendre. Il était riche et cherchait donc le meilleur.

- Tiens pendant que j'y pense, je t'ai pris rendez-vous chez le meilleur psychologue de Miami, tu as rendez-vous à dix heures, vendredi.

Je manquais de cracher le morceau de croissant que j'avais dans la bouche en entendant ce que mon ami venait de me dire. Comment avait-il osé prendre un rendez-vous chez un psychologue sans même m'en parler avant. Je n'avais aucunement envie de parler de mes problèmes à quelqu'un que je ne connaissais absolument pas, c'était hors de question !

- Jax ! Je n'ai pas envie d'aller voir quelqu'un.

- Je savais que tu allais dire ça, mais je fais tout cela pour ton bien, ça te fera du bien de parler à quelqu'un en dehors de moi. S'il te plaît, avant de dire non, fait moi plaisir va au premier rendez-vous. Après si tu ne veux plus y aller, je ne t'en parlerais plus.

Un long silence, c'était installé, je ne savais pas vraiment quoi répondre. Il avait sans doute raison, cela pouvait effectivement m'aider. Mais au plus profond de moi, je me disais que non, personne ne pouvait m'aider juste comme cela en me parlant et en appuyant sur les choses qui font mal. Je n'aimais généralement pas parler de moi et encore moins à un inconnu. Oui, c'était son métier et il était là pour m'écouter, mais je ne pouvais pas, je ne croyais pas être capable de parler de moi comme ça. Pour Jax, je voulais bien faire l'effort.

- D'accord, j'accepte, mais si au premier rendez-vous, je ne veux pas y retourner surtout ne m'oblige pas. Cela me fait déjà légèrement peur, parler de moi, ce n'est pas mon truc et tu le sais.

- Merci Abbadon ! Je te promets de ne pas t'obliger ! Je sais que tu as du mal à t'ouvrir, mais cela te fera le plus grand bien.

- Oui tu as peut être raison.

- Maintenant mange tu en as besoin, après je t’emmène quelque part.

Je ne savais pas ce qu’il me préparait pour la journée, mais j’étais extrêmement curieuse et je ne pouvais pas m’empêcher d'arquer un sourcille en le regardant.

- Je ne dirais rien c’est une surprise, vous êtes trop curieuse mademoiselle Valentine

Un léger sourire, c'était affiché sur mon visage, la curiosité faisait partie de mes défauts, mais en même temps, toutes les filles sont curieuses, je ne suis pas l'exception à la règle. J'ingurgitais mon petit déjeuner à la vitesse de la lumière et étais partie dans ma chambre pour me changer. Il faisait chaud et j'avais décidé de mettre une robe blanche qui arrivait au-dessus de mes genoux. C'était une de mes robes préférées, je l'avais depuis un moment maintenant. C'était pour mes dix-huit ans, c'était mon frère qui me l'avait offerte. Une larme coulait le long de ma joue, je l'essuyais avec mon doigt et partais rejoindre Jax qui était en bas.

-Prête princesse ?

Je hochais la tête et le suivais en dehors de l'immense propriété de Jax. J'avais toujours adoré cette maison très moderne et qui ne ressemblait à aucune autre. La végétation était extrêmement bien pensée pour rendre la maison encore plus belle qu'elle ne l'était. Elle était entière blanche avec de grandes baies vitrées, il avait un immense jardin remplie de joli et belle fleure. J'allais souvent me promener dans ce jardin et sentir le doux parfum des roses. Jax m'avait ouvert la porte de sa belle Mercedes et j'entrais à l'intérieur. Il s'était ensuite assis sur le siège conducteur et avait démarré la voiture. Le son du moteur ne me rassurait en rien, la voiture commençait à rouler dans l'allée avant de s'engager sur la route. Mon cœur s'emballait, une boule venait de se nouer dans mon ventre et une boule dans ma gorge commençait à me faire mal. Tout d'un coup, je ne me sentais réellement pas bien. Des bouffées de chaleur me submergeaient.

-Jax arrête la voiture s’il te plait.

Je n'avais pas besoin de le répéter une seule fois de plus, la voiture, c'était arrêté sur le bas côté. Je sortais à une rapidité folle pour prendre une grande bouffé d'air frais. J'avais du mal à reprendre ma respiration correctement. Jax était descendu et il m'avait rejoint, ses mains m'avaient enlacé.

- Abbadon, ça va ? Doucement princesse respire doucement, lentement.

J’écoutais les conseils de mon ami et j’arrivais à rependre petit à petit ma respiration.

- Je suis désoler Jax, la voiture me fait encore peur pour le moment.

- Non Abbadon c’est moi qui suis désolé, je n’aurais jamais dû t’emmener en voiture.

Je voyais dans le regard de mon ami, qu’il s’en voulait énormément et qu’il était inquiet pour moi. Depuis la mort de mon frère j’avais refusé de sortir ou de prendre la voiture. J’avais encore peur et les images de mon accident me revenaient en pleine tête.
 
- Viens avec moi, j’ai une idée, je ne peux peut-être pas t’emmener là où je voulais, mais je peux au moins t’emmener autre part.

Sa main venait prendre la mienne et je le suivais sans dire un mot et en me calme de plus en plus. Je n'étais pas prête psychologiquement à reprendre la voiture, quand j'avais mis les pieds dans l'habitacle, c'était comme si mon corps entier était paralysé. Chaque respiration que j'essayais de reprendre me brûlait littéralement la trachée. La sueur avait dégouliné de mon front et j'avais chaud. Le ciel bleu et le soleil ne m'aidaient en rien à avoir moins chaud. Mais Jax avait eu une merveilleuse idée comme d'habitude, la mer se dessinait au loin, elle était magnifique, le bruit des vagues qui venaient mourir sur le sable me faisait penser à autre chose. Il savait très bien que j'adorais l'océan et il ne pouvait pas trouver mieux pour me faire plaisir. Je continuais à le suivre en pensant qu'il allait s'arrêter pour s'asseoir dans le sable, mais il avait encore une autre idée en tête. Il venait de prendre par la taille et m'avait posé sur son épaule avant de courir vers la mer. Je le suppliais de me lâcher et que je ne voulais pas être tout mouillé, mais c'était comme si le son de ma voix n'avait jamais atteint ses oreilles. Il continuait toujours de courir, pour atteindre l'eau où je finis bien évidemment.



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Roman Abbadon
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