Parle plusieurs langues comme le Grec, l'italien, le portugais, français, anglais, russe mais aussi des langues éteintes comme le picte, burgonde et grec ancien /  Possède une voiture de collection ainsi qu'une moto dont il se sert tout les jours depuis qu'il est devenu diurne /  A pratiqué plusieurs sorts de combats a haut niveau /  Garde ses armes familiales avec lui /  Regrette que le nom de sa lignée n'existe plus /  A fait parti des guerres mondiales, une fois coté Français, un autre coté allemand / A connu Vlad Tepes / N'aime pas les sorciers /  Se contente de sang en poche et a peur de retomber si il en prend a la source /  Se tien a l'écart du monde car il ne le comprend plus /  

Octave est né pendant le principat à Rome, sa famille était l’une des familles fondatrices et en tant que tel ils avaient un siège au sénat. Dans l’ombre de la nuit cette famille si respectable devenait une famille de chasseurs, des chasseurs de créatures, de sorcières plus exactement.
Très tôt Octave a appris par sa famille qu’il serait un homme à double facette le jour un politicien de bonne famille et la nuit un chasseur sanguinaire qui purifie par le feu.
Le premier sorcier qu’il a chassé c’était à 12 ans avec son père, ils avaient posé des pièges dans les bois et l’avaient poussé à prendre cette voie, cette fois là il a même eu le temps d’asséner le coup de grâce en pleine nuque, le jeune sorcier s'est effondré immédiatement dans une mare de sang.
Bien sûr des fois il y avait des ratés, des innocents tués pour rien ou par inadvertance, des appâts en quelque sorte. 
Quoi qu’il en soit Octave prenait goût à cette chasse aux monstres, il devenait bientôt un chasseur hors pair et reconnu de sa famille ainsi qu’un puissant politicien.
Malheureusement la vie demande toujours une contrepartie, et cette contrepartie il a dû la payer lors de ses 37 ans. Cette année la il s’en souviendra toute sa vie, l’année où il a perdu sa famille, assassiné sa femme et son enfant, tué de sang-froid toute sa lignée juste pour s'abreuvoir de leur sang.
Tout s’est passé très vite cette nuit là, l’arc bandé et ses deux épées à la ceinture il courait derrière sa proie, décochant de temps en temps une flèche pour faire monter le stress et attendre un faux pas de la créature.
Après de logués heures à chasser il avait enfin trouvé sa proie, elle l’attendait dans un cul-de-sac mais ne semblait pas apeuré, et pour cause ! Plusieurs sorciers arrivent de toutes parts et commencèrent des incantations, il eut le temps d’en tuer un, peut être deux mais pas plus, il fut vite mis à terre sans pouvoir rien faire et dut subir leurs courroux :
« Toi Octave de la famille Annæus tu nous as chassés pendant plus de vingt ans, ta famille fait un massacre parmi les créatures obscures qui ne veulent pas faire le mal. Ainsi ! Nous allons te punir de la façon la plus juste ! À partir de ce jour tu chasseras tes semblables ! Et pour être sûr que ta lignée s’éteigne tu ne pourras ni enfanté, ni marché a la lumière du jour ! »

Soudain le crâne d’Octave lui fit mal, comme une botte d’épine lacérant son crâne, s’infiltrant en lui et le rependant dans ses veines, ça lui faisait mal, le démangeait, le tétanisait, il voulait crier mais ne pouvait pas, tous ses muscles étaient tendus et sa gorge était serrée. Il finit par tomber inconscient à terre sans défense.
À son réveil il se rendit compte qu’il était à un endroit qu’il ne connaissait pas, a côté de lui son fils et sa femme attachés, une odeur douce et chaude chatouillait les sens d’Octave une odeur enivrante et qui lui donnait faim, une faim irascible, qui lui tordait l’estomac. En baissant les yeux il vit que sur sa femme et son fils il y avait une entaille qui laissait s'échaper su sang de temps en temps.
Cette nuit a été la plus dure de sa vie résister à la fin dans une petite pièce, où la seule nourriture n’est autre que des êtres proches, il se mit dans un coin de la cabane en se tenant l’estomac, grognant et se tapant la tête contre les murs, pensant que la douleur atténuerait la faim mais en vain…
Alors qu’il était près de la mort, le teint blafard, il avait déjà cassé tout ce qui se trouvait à portée de main, sa femme et son fils étaient apeurés par cet homme qu’ils ne reconnaissaient plus, ou étaient l’homme aimant qu’ils avaient l’habitude de voir ? Celui qui les amenait au cirque ? 
Dans un dernier souffle Octave lâcha « Faim, du sang » et ferma les yeux pour se laisser mourir ici, sans gloire ni renommée.
C’était sans compter sa femme qui versa un peu de son sang dans sa bouche, elle avait entendu son mari demander du sang et s’exécuta pour ne pas le perdre, après tout avec les sorciers tout est possible.
Il se réveilla d’un coup mais la faim et son instinct primaire de chasseur prirent le dessus, il accrocha le cou de sa femme avec l’une de ses mains et se mit à mordre dedans, un craquement se fit entendre, comme si en mordant il avait arraché un morceau, il lécha goulûment le liquide chaud et la vida de tout liquide vital, quand il eut fini il la jeta au sol et s’approcha de son fils en pleurs, il avait un bâton qu’il brandissait comme une épée. Octave n’eut pas un seul geste de retenue en brisant la nuque de l’enfant et se nourrir de lui.
Une fois rassasier le vampire reprit ses esprits devant les corps sans vie de sa femme et son enfant, il tenta de s’enfuir mais il faisait déjà jour, la lumière le brûla et il du rester pendant toute la journée enfermé dans cette cabane avec les conséquences de ses actes.
Plus tard l’osque la nuit fut tombée il se jura de chasser ses sorciers qui ont fait de lui un être ignoble mais arrivé chez lui sa famille complète l’attendait, son père ses frères et sœurs, tous armés et prêts à le mettre à mort :
« Mon fils je ne sais pas ce qu’ils t’ont fait mais regardes-toi, tu es couvert de sang, du sang de ta femme et ton fils, nous ne pouvons pas te laisser faire, venons et accepte ta sentence ! Les sorciers m’ont contacté, ils m’ont indiqué où tu étais, c’est une vraie boucherie, tu dois mourir avant de faire plus de victimes ! »
Une flèche fendit l’air en direction d’Octave qui l’arrêta d’une main, la stupeur se fit sentir autant par Octave que par ses nouveaux ennemis, il prit la flèche et se déplaça en vitesse vampirique pour aller planter ladite flèche dans la poitrine de l’archer.
« Rappelez-vous que c’est vous qui avez attaqué en premier »
Il choppa une épée accrochée a la ceinture d’un homme et lacéra tous les corps environnants dans une rage folle, sa frénésie l’emporta sur la raison il est fut bientôt tapissé du sang de ses pères.
Suite à cela il attaqua chaque soir de nouvelles personnes pour se nourrir, pour se sentir vivant, puissant. 
Bien des années plus tard Octave se mit en quête de bataille de vraie guerre ! Il partit donc participer comme mercenaire à la Guerre de Burgondie, celle des Goths, Saxonnes et Bulgaro-Byzantines, un vrai régal, le sang coulait a flots comme s'il en pleuvait, les sacs à viandes venaient se faire ouvrir devant moi les uns après les autres. 
Suite à tous ces massacres il prit sa « retraite » de barbare et se coupa du monde cherchant un lieu où me poser, voyant tous les êtres au tour de lui vieillir et mourir alors que lui passait a travers les âges.

Avec le temps il était devenu renfermé et distant avec les gens, il avait trouvé un pied à terre à Montréal, il a créé une boîte de nuit ouverte à tous avec ses appartements au-dessus, et s’est fondu dans la masse.
Lors d’une nuit il eut vent d’une altercation entre un Shadow hunter et des vampires, si un Shadow hunter se fait tuer par un vampire dans son quartier alors ils vont faire des descentes de plus en plus fréquents et le dérangement Octave n’aime pas ça. Il alla donc à la recherche de cet affrontement et tomba dessus assez vite, il cassa un morceau de bois et empala le premier, mais lorsque le second allait attaque la Shadow hunter qui était déjà aux prises avec un autre vampire il se jeta entre les deux et fut grièvement blessé de l’épaule gauche à son flanc droit, il tomba au sol avec un petit sourire sur le bord des lèvres, allait-il mourir ici ? En aidant une chasseuse, ce qu’il était à la base, après tout ce serait une belle fin pour une vie si dissolue que la sienne.
Quelques secondes plus tard je repris mes esprits en buvant le sang de la jeune femme, cela faisait tellement de temps qu’il n’avait pas bu directement a la source qu’il ne put s’arrêter à temps et elle perdit connaissance .
Suite à cela il la ramena chez lui et l’allongeât sur son lit en la couvrant d’une fine couverture après l’avoir nettoyé.
À son réveil la femme était partie, le jour était encore levé, il passa sa main à travers un rayon de soleil comme il faisait de temps en temps pour se sentir vivant, pour avoir mal, mais cette fois rien, il n’eut pas de douleur, pas de brûlure.
Il sortit immédiatement pour voir si c’était un rêve ou un mirage, LE SOLEIL ! La chaleur du soleil sur sa peau ! Depuis ce temps il déambule en ville ou dans les parcs en prenant des bains de soleil. Il aimerait bien retrouver la Shadow Hunter qu’il a sauvée pour lui poser quelques questions et la remercier.